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Biodiversité : Découvrez les initiatives du BEP !

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Découvrez les actions du BEP en faveur de la biodiversité : des recyparcs aux parcs d’activités, des initiatives concrètes pour un environnement plus durable!

Les recyparcs : un havre pour la biodiversité

  • Des arbres, des haies. Plus de la moitié des déchets des citoyens y sont collectés, et pourtant, la nature y est préservée. Au BEP, fini les talus stériles et l’utilisation de pesticides ! Désormais, ce sont des haies de plantes indigènes et des massifs d’arbres, comme les saules, peupliers, chênes et érables, qui embellissent ces espaces. Ces plantations ne servent pas seulement de coupe-vent, elles nourrissent aussi la faune et colorent les sites toute l’année. Par exemple, au recyparc de Philippeville, le BEP a planté 50 mètres de haies, tandis que sur celui d’Havelange, un verger d’arbres fruitiers anciens a vu le jour.
  • Des hôtels à insectes et des nichoirs pour la faune. Au recyparc, on installe aussi de jolis hôtels à insectes, fabriqués avec des matériaux de récupération par Handipar, une entreprise namuroise de travail adapté. Ils offrent un refuge aux araignées, coccinelles et abeilles solitaires. On installe également des nichoirs pour oiseaux : mésanges, rouges-gorges et bergeronnettes trouvent ici un chez-soi.

Réhabilitation des anciens centres d’enfouissement : un projet durable

Le BEP se charge aussi de réhabiliter les anciens centres d’enfouissement technique, transformés en lieux propices à la biodiversité grâce au partenariat avec Natagora. Ces sites, désormais partie du “Réseau Nature”, accueillent des mares, des zones humides et des moutons pour l’éco-pâturage. Cela permet de limiter l’usage des pesticides et de favoriser une gestion plus respectueuse de l’environnement.

Les parcs d’activités économiques : la biodiversité au cœur des projets

Les parcs d’activités économiques du BEP, certifiés ISO 14001, intègrent des espaces de biodiversité avec des haies mellifères et des prairies fleuries. À Ecolys, par exemple, un verger est géré par une coopérative. La gestion durable des eaux pluviales contribue aussi à créer des zones humides, essentielles pour la faune et la flore, comme pour le crapaud calamite, espèce menacée. Le BEP sensibilise les entreprises à suivre son exemple en encourageant la biodiversité sur leurs parcelles.

Et bientôt, la première récolte de miel !

En effet, 2 ruches soit 120.000 abeilles résident sur le toit du BEP à Namur. Ensemble, elles travaillent dur : pollinisation, production de miel, et bien sûr, prendre soin de leur reine. Mais ce n’est pas tout, elles contribuent à la biodiversité en ville ! 

 

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